Depuis plusieurs semaines, on entend dans tout les médias parler de ces erreurs médicales qui ont été fatales, tout d'abord pour un petit garçon de 3-4 ans, puis un nourrisson de 6 mois, un homme de 56 ans puis un garçon de 6-7 ans... Et, à mon avis, c'est le début d'une longue série... Pas qu'il y en ai plus qu'avant (tout dépends du avant) mais surtout que dans ce genre d'affaire, lorsqu'une éclate les autres suivent.
Aujourd'hui les erreurs médicales en France ce chiffre à plusieurs centaine de milliers d'erreurs par an (ce chiffre varie en fonction des sources) mais ça serait prêt de 400 000 patients chaque année qui seraient concernés. Heureusement toutes ces erreurs n'ont pas les conséquence des situations exposées dans les journaux. Mais La plus part de ces erreurs auraient pu être évité.
Dans la situation du petit garçon de 3-4 ans, une infirmière aurait injecter un médicament à ce petit garçon sur la demande de sa collègue qui était débordée. Elle a donc pris le médicament (pensant être le bon) dans la pharmacie... La suite on l'a connait le médicament n'était pas le bon et n'aurait jamais du être dans la pharmacie. Ce fût un enchainement d'erreur qui malheureusement furent fatales.
Ce drame est horrible et pourtant je me met à la place de cette infirmière qui à voulu aider ça collègue. Étant moi même dans les soins, ces erreurs me font terriblement peur. On nous a souvent prévenu de ne pas faire des soins "à la chaine", c'est à dire des soins à une patiente (dans mon cas) qui n'est pas la notre. Mais cela arrive continuellement... Lors qu'une infirmière/Sage-femme est débordée il arrive régulièrement qu'elle fasse appelle à une collègue. Or en France les infirmières sont surchargées de travail. J'ai pu discuter avec beaucoup d'entre elles... Et plusieurs me racontaient qu'elles avaient un nombre très (trop) élevé de patients.
Aujourd'hui les erreurs médicales en France ce chiffre à plusieurs centaine de milliers d'erreurs par an (ce chiffre varie en fonction des sources) mais ça serait prêt de 400 000 patients chaque année qui seraient concernés. Heureusement toutes ces erreurs n'ont pas les conséquence des situations exposées dans les journaux. Mais La plus part de ces erreurs auraient pu être évité.
Dans la situation du petit garçon de 3-4 ans, une infirmière aurait injecter un médicament à ce petit garçon sur la demande de sa collègue qui était débordée. Elle a donc pris le médicament (pensant être le bon) dans la pharmacie... La suite on l'a connait le médicament n'était pas le bon et n'aurait jamais du être dans la pharmacie. Ce fût un enchainement d'erreur qui malheureusement furent fatales.
Ce drame est horrible et pourtant je me met à la place de cette infirmière qui à voulu aider ça collègue. Étant moi même dans les soins, ces erreurs me font terriblement peur. On nous a souvent prévenu de ne pas faire des soins "à la chaine", c'est à dire des soins à une patiente (dans mon cas) qui n'est pas la notre. Mais cela arrive continuellement... Lors qu'une infirmière/Sage-femme est débordée il arrive régulièrement qu'elle fasse appelle à une collègue. Or en France les infirmières sont surchargées de travail. J'ai pu discuter avec beaucoup d'entre elles... Et plusieurs me racontaient qu'elles avaient un nombre très (trop) élevé de patients.
Personne est à l'abri d'une erreur.
De plus on peut voir que dans cette situation ce n'est pas une erreur, mais une suite qui ont mené au décès de ce petit garçon. Et en effet un "incident" grave est la plus part du temps un enchainement d'erreur, de désorganisation de service, manque de protocoles...Etc.
Voilà une réponse de notre ministre de la santé qui relativise les choses....
«Ces effets indésirables, parfois graves, sont en constante diminution», notamment les accidents liés à l'anesthésie «dont le nombre a été divisé par dix en 30 ans», a tenu à rappeler la ministre. Pour elle, cependant, «ce qu'il faut voir, c'est le nombre de vies sauvées à l'hôpital, (...) des centaines de milliers de vies».
Certes les accidents d'anesthésies sont de plus en plus rare, car les médecins sont de plus en plus perfectionné, et les médicaments utilisés sont très bien contrôlé. Mais les accidents durant les hospitalisations reste considérables.
Le problème actuel est que l'on manque d'hôpitaux et de personnels soignants. Mais le domaine de la santé n'est pas un marché très rentable (excepté pour les labo' pharmaceutiques), je pourrais même dire à pertes... C'est pourquoi l'État à amorcé il y a quelques années une fermeture de beaucoup de centre de soins, maternités...
Mais peut-être que ces évènements médiatisés auront pour effets de faire bouger les choses. A croire qu'il faut qu'il y ai des morts pour faire bouger les choses.
Voici un lien avec un document PDF, sur un site officiel pour ceux qui veulent en savoir plus. [ici]
Voilà une réponse de notre ministre de la santé qui relativise les choses....
«Ces effets indésirables, parfois graves, sont en constante diminution», notamment les accidents liés à l'anesthésie «dont le nombre a été divisé par dix en 30 ans», a tenu à rappeler la ministre. Pour elle, cependant, «ce qu'il faut voir, c'est le nombre de vies sauvées à l'hôpital, (...) des centaines de milliers de vies».
Certes les accidents d'anesthésies sont de plus en plus rare, car les médecins sont de plus en plus perfectionné, et les médicaments utilisés sont très bien contrôlé. Mais les accidents durant les hospitalisations reste considérables.
Le problème actuel est que l'on manque d'hôpitaux et de personnels soignants. Mais le domaine de la santé n'est pas un marché très rentable (excepté pour les labo' pharmaceutiques), je pourrais même dire à pertes... C'est pourquoi l'État à amorcé il y a quelques années une fermeture de beaucoup de centre de soins, maternités...
Mais peut-être que ces évènements médiatisés auront pour effets de faire bouger les choses. A croire qu'il faut qu'il y ai des morts pour faire bouger les choses.
Voici un lien avec un document PDF, sur un site officiel pour ceux qui veulent en savoir plus. [ici]