Mon stage s'est enfin terminée et de la plus belle façon qui soit. J'ai eut mon évaluation de fin stage, et ce fut plutôt positif. Mais cette avant dernière journée de stage à été magique. J'ai vu le plus belle accouchement qu'il m'est été donnée de voir. En plus de le voir je l'ai fait. Seule !
C'était un deuxième bébé (ça va toujours plus vite pour les deuxième), je travaillais avec ma PF (Praticienne formatrice = Sage-femme qui est chargée de s'occuper de nous sur notre lieu de stage, notre référente). J'adore travailler avec elle car elle me laisse la place de faire des propositions, de m'occuper correctement de la patiente sans que l'une interfère avec l'autre. Bref.
C'était donc un deuxième bébé, la patiente n'avait ni péridural ni autre analgésie que ses propres endorphine. Au fur et à mesure que les contractions devenaient douloureuses, elle se laissait totalement aller à ce phénomène des contractions et avait une maitrise d'elle même exemplaire. Son visage avait changé sous l'effet des endorphines. Ma PF m'a laisser l'examiner seule, elle était en début de travail.
Quelques contractions plus tard, cette femme sentit l'envie de pousser, le bébé descendait gentillement dans le bassin... Ma PF l'examine et me dit de préparer le chariot d'accouchement (= toute les pinces et champs stérile "nécessaire" à l'accouchement...), très rapidement... Je m'installe par terre (chose exceptionnelle). La patiente était assise entre les jambe de son mari, qui se trouvait derrière elle. Nous avions "cassé" le lit. C'est a dire que le haut était relever un siège, et le bas (les pieds) était descendu au plus bas un peu comme un marche pied. Elle était donc assise au bord du lit, nous n'avons pas mis les cales pieds. Et j'ai enfiler ma blouse, et puis mes gants. J'ai vite eut le temps de désinfecter, je voyais déjà la tête avancer à chaque pousser. Je me tenais prête, puis la tête avançait encore et encore. Ma PF encourageait la parturiente. Puis et lautre sur le périnée, j'ai senti le nez, le menton passer, puis j'ai dit à la futur maman d'arrêté de pousser pour ne pas que le menton sorte trop vite et déchire le périnée. J'ai fini de faire sortir la tête, puis vérifier qu'il n'y avait pas de cordon autour du cou de ce bébé. Puis après j'ai tourner la tête, du moins je l'ai accompagner à le faire. J'ai descendu la tête pour faire sortir la première épaule, et je vous promet qu'il en faut de la force pour faire sortir un bébé... j'ai mis mes mains sur la tête du bébé qui arrivaitLa première épaule sortit, j'ai remonté le reste du corps vers le haut pour pouvoir faire sortir la deuxième. Puis tranquillement le bébé est venu je l'ai déposer sur le ventre de sa maman. Et ai écouter son premier cri. Quelques secondes d'égarement où je me suis retrouvée spectatrice de ce moment unique. Puis j'ai clamper le cordon. Et le papa l'a couper. Une petite fille était née.
Voilà mon dernier accouchement, moment unique magique sans intervention de quelqu'un extérieur... Un moment magique.
C'était un deuxième bébé (ça va toujours plus vite pour les deuxième), je travaillais avec ma PF (Praticienne formatrice = Sage-femme qui est chargée de s'occuper de nous sur notre lieu de stage, notre référente). J'adore travailler avec elle car elle me laisse la place de faire des propositions, de m'occuper correctement de la patiente sans que l'une interfère avec l'autre. Bref.
C'était donc un deuxième bébé, la patiente n'avait ni péridural ni autre analgésie que ses propres endorphine. Au fur et à mesure que les contractions devenaient douloureuses, elle se laissait totalement aller à ce phénomène des contractions et avait une maitrise d'elle même exemplaire. Son visage avait changé sous l'effet des endorphines. Ma PF m'a laisser l'examiner seule, elle était en début de travail.
Quelques contractions plus tard, cette femme sentit l'envie de pousser, le bébé descendait gentillement dans le bassin... Ma PF l'examine et me dit de préparer le chariot d'accouchement (= toute les pinces et champs stérile "nécessaire" à l'accouchement...), très rapidement... Je m'installe par terre (chose exceptionnelle). La patiente était assise entre les jambe de son mari, qui se trouvait derrière elle. Nous avions "cassé" le lit. C'est a dire que le haut était relever un siège, et le bas (les pieds) était descendu au plus bas un peu comme un marche pied. Elle était donc assise au bord du lit, nous n'avons pas mis les cales pieds. Et j'ai enfiler ma blouse, et puis mes gants. J'ai vite eut le temps de désinfecter, je voyais déjà la tête avancer à chaque pousser. Je me tenais prête, puis la tête avançait encore et encore. Ma PF encourageait la parturiente. Puis et lautre sur le périnée, j'ai senti le nez, le menton passer, puis j'ai dit à la futur maman d'arrêté de pousser pour ne pas que le menton sorte trop vite et déchire le périnée. J'ai fini de faire sortir la tête, puis vérifier qu'il n'y avait pas de cordon autour du cou de ce bébé. Puis après j'ai tourner la tête, du moins je l'ai accompagner à le faire. J'ai descendu la tête pour faire sortir la première épaule, et je vous promet qu'il en faut de la force pour faire sortir un bébé... j'ai mis mes mains sur la tête du bébé qui arrivaitLa première épaule sortit, j'ai remonté le reste du corps vers le haut pour pouvoir faire sortir la deuxième. Puis tranquillement le bébé est venu je l'ai déposer sur le ventre de sa maman. Et ai écouter son premier cri. Quelques secondes d'égarement où je me suis retrouvée spectatrice de ce moment unique. Puis j'ai clamper le cordon. Et le papa l'a couper. Une petite fille était née.
Voilà mon dernier accouchement, moment unique magique sans intervention de quelqu'un extérieur... Un moment magique.
A toi les vacances maintenant ?
Je t'embrasse