Dimanche 10 août 2008 à 19:00

Et bin voilà... Je reviens et j'apprends que la maternité où j'étais en stage à pris feu.
La maternité de Genève qui accueil plus de 4000 naissances par an est entrain d'être agrandie et au dernier étage, au niveau des travaux, un feu se serait déclaré. Faisant évacuer toute cette partie du batiment, Soit près de 80 femmes et leur bébé. Incendie très vite maitrisé... Mais quand même ça donne pas très envie de retourner en stage. Quoi que il m'en faudra plus pour me décourager...
Prochain stage là bas, aux urgences obstétricales (tout ce qui concerne la femme enceinte !). J'espère qu'il n'y aura pas de conséquence...

Info ICI.



Dimanche 10 août 2008 à 18:27

J'ai abandonné mon blog c'est dernier temps au profis de mes examens - que j'ai entre parenthèses validés- de mes baby-sitting répétitifs, et mes très très très attendues vacances.
Me voilà donc de retour de Biarritz, où j'ai passé des vacances géniales, et j'ai même bronzé !!!! je vous assure.
J'ai découvert un coin de la France que je ne connaissais pas du tout et qui m'a enchanté. Les gens sont adorable et la ville est magnifique.
La plage est souvent bondée, et c'est pire lors des marrés hautes, la plage étant rétrécie cela devient mission impossible de trouver une place.

Le pays basque est vraiment un endroit magnifique. Où les gens sont vraiment très accueillant. Bien que vendredi la veille du départ on a appris que des bombes artisanales avaient été déminées a Anglet (ville voisine de Biarritz). Pour le lien vers l'article sur les bombes Cliquer ICI.


La Grande Plage
Photo prise sur visoterra.com
Lien sur l'image



Lundi 14 juillet 2008 à 20:50

Car je devrais être entrain de réviser au lieu d'écrire cette article mais que j'en ai plus rien a faire... J'ai réfléchis à différent moyen d'ingurgiter les polys indigestes telles que : Les cardiopathie congénitale, ou l'ictère du nouveau-né... bref.

Forcée par le desespoir j'ai eu l'idée de fabriquer une corde avec mes polycopiés et me pendre avec... Mais après mur réflexion  mes pieds toucherais par terre, même si je sautais du haut de la tour Effeil vu la tonne de poly.
Autre solution pour éviter mon exam demain est de carrément les manger, m'étouffer avec  ou  bien faire une intoxication avec l'encre qui je l'espère contiens du plomb.
Puis je me suis dit qu'en les ingurgitant au sens propre je pourrais peut-être retenir quelques chose mais Nono m'a dit que les enzimes gastriques brulerais les informations...
C'est pourquoi je me suis dit que j'en ferais de la poudre afin de pouvoir la sniffer, et que ça aille directement au cerveau !

Alors si quelqu'un à un procédé pour mettre en poudre les polys j'accepte





Le travail c'est la santé.... Et bin je suis en pleine forme alors....


Vendredi 11 juillet 2008 à 11:33

Voici une image que j'ai reçu par mail... Surement déjà connu je me suis dit qu'elle méritait d'être largement publiée.  Bien que je ne sois pas conductrice ni même détentrice du permis, cette image me révolte. Et me fait dire que dans cette société il y a bien deux poids deux mesures. Mais je pense que l'image ce passe de commentaire...



J'aurais bien aimé qu'une personne handicapée aille râler à l'accueil, et que le magasin fasse une annonce demandant aux policiers de se déplacer.
Mais peut-être qu'à leur décharge ils ont cru que c'était un place zone bleu...

Jeudi 10 juillet 2008 à 15:12

Mon stage s'est enfin terminée et de la plus belle façon qui soit. J'ai eut mon évaluation de fin stage, et ce fut plutôt positif. Mais cette avant dernière journée de stage à été magique. J'ai vu le plus belle accouchement qu'il m'est été donnée de voir. En plus de le voir je l'ai fait. Seule !

C'était un deuxième bébé (ça va toujours plus vite pour les deuxième), je travaillais avec ma PF (Praticienne formatrice = Sage-femme qui est chargée de s'occuper de nous sur notre lieu de stage, notre référente). J'adore travailler avec elle car elle me laisse la place de faire des propositions, de m'occuper correctement de la patiente sans que l'une interfère avec l'autre. Bref.
C'était donc un deuxième bébé, la patiente n'avait ni péridural ni autre analgésie que ses propres endorphine. Au fur et à mesure que les contractions devenaient douloureuses, elle se laissait totalement aller à ce phénomène des contractions et avait une maitrise d'elle même exemplaire. Son visage avait changé sous l'effet des endorphines. Ma PF m'a laisser l'examiner seule, elle était en début de travail.
Quelques contractions plus tard, cette femme sentit l'envie de pousser, le bébé descendait gentillement dans le bassin... Ma PF l'examine et me dit de préparer le chariot d'accouchement (= toute les pinces et champs stérile "nécessaire" à l'accouchement...), très rapidement... Je m'installe par terre (chose exceptionnelle). La patiente était assise entre les jambe de son mari, qui se trouvait derrière elle. Nous avions "cassé" le lit. C'est a dire que le haut était relever un siège, et le bas (les pieds) était descendu au plus bas un peu comme un marche pied.  Elle était donc assise au bord du lit, nous n'avons pas mis les cales pieds. Et j'ai enfiler ma blouse, et puis mes gants. J'ai vite eut le temps de désinfecter, je voyais déjà la tête avancer à chaque pousser. Je me tenais prête, puis la tête avançait encore et encore. Ma PF encourageait la parturiente. Puis et lautre sur le périnée, j'ai senti le nez, le menton passer, puis j'ai dit à la futur maman d'arrêté de pousser pour ne pas que le menton sorte trop vite et déchire le périnée. J'ai fini de faire sortir la tête, puis vérifier qu'il n'y avait pas de cordon autour du cou de ce bébé. Puis après j'ai tourner la tête, du moins je l'ai accompagner à le faire. J'ai descendu la tête pour faire sortir la première épaule, et je vous promet qu'il en faut de la force pour faire sortir un bébé... j'ai mis mes mains sur la tête du bébé qui arrivaitLa première épaule sortit, j'ai remonté le reste du corps vers le haut pour pouvoir faire sortir la deuxième. Puis tranquillement le bébé est venu je l'ai déposer sur le ventre de sa maman. Et ai écouter son premier cri. Quelques secondes d'égarement où je me suis retrouvée spectatrice de ce moment unique. Puis j'ai clamper le cordon. Et le papa l'a couper. Une petite fille était née.



Voilà mon dernier accouchement, moment unique magique sans intervention de quelqu'un extérieur... Un moment magique.

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